BRAUNSCHWEIG JULES

1889 - 1976 | Miejsce urodzenia: | Miejsce aresztowania: | Miejsce zamieszkania: , , , , ,

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Jules BRAUNSCHWEIG, 1889 – 1976

 

Extrait d’acte de naissance de Jules Braunschweig,  à défaut de photographie. Crédit : PAVCC, SHD, Caen.

 

Biographie réalisée par Sigrid GAUMEL, Agrégée de Géographie

Une enfance à Mulhouse sous l’annexion allemande (1889 – 1891 ?)

 

Julius (Jules) Braunschweig dit Brunschwig naît le 7 novembre 1889 au 19 Gerechtigkeitsgasse (rue de la Justice) à Mülhausen (Mulhouse, Haut-Rhin)[1]. Il est né de l’union de Salomon Braunschweig, né le 18 septembre 1862 au 4 impasse de l’horloge à Mulhouse[2], et de Berthe Marthe Braunschweig née Blum le 26 juillet 1861 à Seibersbach (Rhénanie-Palatinat, Allemagne)[3]. Salomon Braunschweig exerce la profession de laitier[4].

 

Jules a deux frères aînés : Elias Braunschweig né le 6 avril 1887 au 4 Mussbrunnengasse (actuelle rue des Bons enfants) à Mulhouse[5], et Heinrich (Henri) Braunschweig né le 6 juillet 1888 au 19 Gerechtigkeitsgasse (rue de la Justice) à Mulhouse[6] et décédé le 20 juin 1889 à Mulhouse[7], à l’âge de 11 mois. La sœur cadette de Jules, Johanna (Jeanne) Braunschweig, est née le 11 novembre 1890 à Mulhouse[8].

 

Les grands-parents paternels de Jules sont Raphaël Braunschweig, tapissier, né vers 1818 à Mulhouse et Jeanne Braunschweig née Kahn ou Cahen[9], née vers 1828, sans profession[10].

 

Depuis le traité de Francfort du 10 mai 1871, l’Alsace-Moselle est annexée de fait par l’Allemagne, et fait partie du Reichsland Elsass-Lothringen. Mulhouse se trouve ainsi en Allemagne. Salomon Braunschweig, sa femme Berthe et leurs enfants, auraient résidé, à partir du 16 novembre 1886 au 4 rue des Bons enfants (Mussbrunnengasse) à Mulhouse, puis dès le 19 août 1887 au 9 rue des Orphelins (Waisengasse) à Mulhouse, et enfin du 8 décembre 1889 au 8 avril 1891 au 19 rue de la Justice (Gerechtigkeitsgasse) à Mulhouse[11], adresses situées dans le cœur historique de Mulhouse. La famille quitte Mulhouse probablement en avril 1891. Le grand-père paternel de Jules, Raphaël Braunschweig, serait décédé en 1902 et inhumé au cimetière israélite de Mulhouse[12].

 

 

La famille Braunschweig déménage à Paris (1891 ? – 1914)

 

Avant 1910, Salomon Braunschweig, sa femme Berthe et leurs trois enfants, Elias, Jules et Jeanne, s’installent à Paris.

 

En 1910, à l’âge de 20 ans, Jules effectue son service militaire dans l’armée française. Son signalement indique qu’il a un visage ovale, les cheveux et sourcils bruns, les yeux marrons, un front « ordinaire », un nez « moyen » et une bouche « moyenne ». Jules est incorporé au 82e Régiment d’Infanterie à compter du 4 octobre 1910. Il arrive au corps en tant que soldat de 2e classe le 4 octobre 1910. Il passe, par décision de Monsieur le Général et le 5e corps, en date du 8 décembre, à la 5e section d’infirmiers à Paris. Il arrive au corps en tant que soldat de 2e classe le 15 décembre[13].

 

Jules passe à la 21e section d’infirmiers militaires à Constantine (Algérie) le 28 avril 1911. Il est incorporé le 29 avril 1911. Il arrive au corps le 1er mai 1911. Il est promu caporal le 15 octobre 1911. Jules est envoyé en congé le 28 septembre 1912 en attendant son passage dans la réserve de l’armée active le 1er octobre 1912. Il a reçu un certificat de bonne conduite. Jules se retire à Paris au 95 rue des Boulets (11e arr.). Après son service militaire, il est affecté, en tant que réserviste, à la 22e section d’infirmiers militaires stationnée à Paris.

 

 

Jules est mobilisé pendant la Première Guerre mondiale (1914-1918)

 

A l’orée de la Première Guerre mondiale, Jules Braunschweig, âgé de 24 ans, est rappelé à l’activité par décret de mobilisation générale le 1er août 1914 pour la durée de la guerre. Il arrive au corps le 3 août 1914 et est affecté à la 24e section d’infirmiers militaires.

 

Jules est affecté au service auxiliaire après la décision du Gouverneur militaire de Paris du 11 avril 1915, suivant l’avis de la Commission de réforme de Versailles du 22 mars 1915 pour « palpitations sans lésions ». Jules est maintenu au service auxiliaire par la Commission spéciale de réforme de Versailles du 18 septembre 1915 (loi du 17 août 1915).

 

Jules, âgé de 26 ans, est réformé n°2 le 20 août 1917 par la Commission de réforme de Versailles pour « sommets suspects, induration du sommet du poumon droit. Mauvais état général. Amaigrissement marqué » [14]. L’induration du sommet correspond à une fibrose pulmonaire (sclérose du tissu pulmonaire localisée au sommet d’un poumon). Cette affection aux causes multiples (bactérienne, virale, tuberculose…) évolue vers l’insuffisance respiratoire chronique. Jules, ne pouvant plus participer au service actif en raison de ses problèmes de santé, se retire chez ses parents au 95 rue des Boulets à Paris (11e arr.) [15]. Il a reçu un insigne de blessé de guerre de la campagne de 1914-1918[16].

 

 

Jules se marie et s’installe à Paris (1918 – fin des années 1930)

 

En 1918, les parents de Jules, Salomon et Berthe Braunschweig, travaillent comme négociants à Paris[17].

 

A l’âge de 28 ans, Jules se marie à Delphine Jeanne Meyer le 25 avril 1918 à Paris (2e arr.)[18]. Delphine Jeanne est née le 29 mai 1891, 10 rue des Jeûneurs à Paris (2e arr.)[19] de l’union de David Meyer et de Céline Meyer née Moyse. Sans profession, Jeanne réside avec ses parents et son frère Abraham Georges au 117 rue Réaumur à Paris (2e arr.). Il a été fait un contrat de mariage reçu le 24 avril 1918 par Maître Morel d’Arleux, notaire à Paris. David Meyer, né le 29 octobre 1862 au 6 rue de Berry à Paris (8e arr.)[20], et Céline Meyer, née Moyse le 2 juin 1864 à Les Etangs (Moselle), fabricants de broderies, se sont mariés le 31 juillet 1890 à Paris (2e arr.)[21]. Le frère cadet de Jeanne, Abraham Georges Meyer, est né le 23 septembre 1892, 10 rue des Jeûneurs à Paris (2e arr.)[22].

 

Jules et Delphine Braunschweig s’installent au 215 bis boulevard Voltaire dans le quartier Sainte-Marguerite à Paris (11e arr.) probablement en 1919[23]. Ils résident toujours à cette adresse en 1921[24] et en 1926[25]. En 1931, ils ne semblent plus habiter à cette adresse[26]. Jules est négociant en cycles (bicyclettes)[27]. En 1936, Jules (47 ans) et Delphine Braunschweig (45 ans) semblent résider au 1 rue Ariste Hémard à Montreuil-sous-Bois (Seine-Saint-Denis)[28], commune limitrophe du département de Paris. En 1937, cette adresse est avérée[29]. La mère de Delphine, Céline Meyer, veuve, patronne d’un magasin d’accessoires pour cycles, réside avec Jules et Delphine[30].

 

Le frère de Delphine, Georges Meyer, négociant, domicilié chez ses parents au 117 rue Réaumur à Paris (2e arr.), se marie à Marie Strauss, sans profession, le 20 janvier 1921 à Paris (11e arr.)[31]. Jules Braunschweig est l’un des témoins de ce mariage. Marie Strauss, domiciliée chez ses parents au 35 bis rue Saint-Sabin à Paris (11e arr.), est née le 28 novembre 1894 à Charmes (Vosges) de l’union de Simon Strauss, négociant, et de Pauline Strauss née Samuel, sans profession. Le mariage de Georges et de Marie est dissous par jugement de divorce rendu le 19 mars 1928 par le Tribunal Civil de la Seine[32].

 

Georges Meyer, âgé de 38 ans, chef de service de messageries, domicilié 40 rue Poussin à Paris (16e arr.), se remarie, le 28 avril 1931 à Paris (16e arr.), à Marguerite Léontine Bourgery, âgée de 31 ans, secrétaire[33]. Marguerite, domiciliée 70 rue Didot à Paris (14e arr.), est née le 23 août 1899 à Mohon (Ardennes) de l’union de Jean-Baptiste Justin Bourgery, décédé, et de Marie Hortense Dewelle, sans profession, domiciliée au 13 avenue de Mézières à Mohon.

 

 

L’entrée en guerre (1939) et la fuite en zone « libre »

 

Le 1er septembre 1939, l’armée allemande envahit la Pologne. Le 3 septembre 1939, la France et l’Angleterre déclarent la guerre à l’Allemagne. Après la « drôle de guerre », le 10 mai 1940, les Allemands passent à l’offensive et envahissent les Pays-Bas, la Belgique et le Luxembourg, contournant la ligne Maginot.

 

L’armistice, signé le 22 juin 1940 avec l’Allemagne, et le 24 juin 1940 avec l’Italie, entre en vigueur le 25 juin 1940. Le territoire français est divisé en deux zones : la zone occupée par les Allemands au Nord, et la zone dite « libre » au Sud dirigée par le gouvernement de Vichy. L’Alsace-Moselle est annexée de fait et rattachée au Reich nazi, l’armée allemande occupe ce territoire et y installe son administration.

 

Jules et Jeanne Braunschweig ont rejoint la zone « libre » dirigée par le gouvernement de Vichy (à une date indéterminée). Avant le 10 juin 1944, ils résident au 8 rue Galtier[34] à Lyon (5e arr.) (Rhône)[35].

 

 

La vie sous le régime de Vichy (juillet 1940-11 novembre 1942), puis sous l’occupation allemande (à partir du 11 novembre 1942)

 

Après la signature de l’armistice par la France (22 juin 1940), la ville de Lyon se situe en zone Sud, zone où s’exerce l’autorité du gouvernement de Vichy. Le gouvernement du maréchal Pétain fait preuve d’un antisémitisme racial, et proclame, dès l’automne 1940, l’existence d’une « race juive ». Le 3 octobre 1940, il promulgue la loi portant sur le « Statut des Juifs », et le 2 juin 1941, il ordonne un recensement sur tout le territoire et promulgue un deuxième statut des juifs. Jusqu’à la fin 1942, l’Etat français adopte et publie plus d’une centaine de textes juridiques visant les juifs[36]. Il participe aussi activement à la déportation des juifs étrangers. Toutefois, le gouvernement de Vichy n’impose pas le port de l’étoile jaune en zone libre.

 

En réaction au débarquement anglo-américain en Afrique du Nord (8 novembre 1942), les Allemands décident, aussitôt, d’envahir et de militariser la zone libre (à l’exception des départements occupés par les troupes italiennes). Dès le 11 novembre 1942, la Gestapo installe son quartier général à Lyon et Klaus Barbie est nommé à la tête de la section IV de la Gestapo. Les unités de la Sipo-SD, police de sûreté allemande dont fait partie la Gestapo, opèrent la lutte contre les Résistants et la chasse aux Juifs. La section antijuive de la police allemande mène une traque qui ne cesse de prendre de l’ampleur et de se radicaliser jusqu’à la veille de la Libération, faisant plus de 3000 victimes dans la région[37].

 

 

L’arrestation à Lyon (10 juin 1944) et la déportation à Auschwitz (31 juillet 1944)

 

Après dénonciation, Jules Braunschweig, et probablement sa femme Jeanne, sont arrêtés par la Gestapo à leur domicile, au 8 rue Galtier à Lyon (5e arr.), le 10 juin 1944. Des voisins sont témoins de cette arrestation : Bernard et Ducros, résidant tous deux au 8 rue Galtier à Lyon, Gautier demeurant au 3 rue Louis Vitet à Lyon[38].

 

Jules aurait été incarcéré à la prison allemande du fort Montluc à Lyon (3e arr.)[39], puis transféré le 30 juin 1944 au camp de Drancy, camp de transit où sont concentrés les Juifs avant la déportation vers Auschwitz-Birkenau. Le 31 juillet 1944, Jules (54 ans) et Jeanne (53 ans) ont été déportés de Drancy à Auschwitz-Birkenau par le convoi 77. La liste originale du convoi de déportation mentionne le nom de Jeanne Braunschweig[40]. Jules et Jeanne sont arrivés à Auschwitz-Birkenau le 3 août 1944.

 

Jeanne est décédée le 5 août 1944 à Auschwitz. L’arrêté du Ministère de la Défense en date du 27 novembre 2009, portant apposition de la mention « Mort en déportation » sur les actes de décès, stipule que Jeanne Braunschweig est décédée le 5 août 1944 à Auschwitz (Pologne)[41].

 

Jules est identifié par le numéro matricule B-3702 et il est interné dans le Block n°21 au camp de concentration d’Auschwitz[42].

 

Le 12 janvier 1945, il reste environ 67 000 détenus dans les trois camps principaux d’Auschwitz[43]. A partir du 17 janvier 1945, l’armée soviétique approchant, les nazis évacuent le camp d’Auschwitz. 58 000 prisonniers sont jetés sur les routes par les SS, entamant les « marches de la mort » à destination de camps à l’intérieur du territoire allemand. 9 000 détenus incapables de se déplacer sont abandonnés par les SS, parmi eux Jules Braunschweig. Avant de quitter Birkenau, les SS procèdent à la destruction des structures du centre de mise à mort. Le 20 janvier, les crématoires II et III sont dynamités. Le 23 janvier, les baraques du Canada II (spécialisées dans le stockage de biens des déportés) sont incendiées. Puis, le 26, le crématoire V est dynamité avant que les SS ne quittent le site.

 

 

La libération et le rapatriement de Jules

 

Le 27 janvier 1945, les troupes soviétiques atteignent Auschwitz. Quelques milliers de détenus sont encore en vie parmi les 9 000 laissés par les SS[44]. Le nom de Jules Braunschweig figure sur la liste des noms des déportés trouvés vivants à la libération du camp d’Auschwitz[45].

 

Les Soviétiques prennent en charge les détenus libérés. Les médecins et infirmières de la Croix-Rouge polonaise et le service de santé de l’armée soviétique soignent les malades. Un hôpital de la Croix-Rouge est créé dans le camp principal. En février 1945, Jules Braunschweig a un phlegmon à la main gauche[46], c’est-à-dire une infection touchant la gaine des tendons fléchisseurs des doigts. Ce phlegmon pourrait résulter de coups reçus pendant le travail (« durch Schläge bei der Arbeit »)[47].

 

Les premiers rapatriements ont lieu en mars 1945. Les déportés sont rapatriés par bateau par Kiev et Odessa et débarquent à Marseille. Jules Braunschweig (55 ans) aurait été rapatrié le 2 mai 1945[48].

 

Jules Braunschweig serait arrivé, selon les sources, le 07 juillet 1945[49] ou le 10 juillet 1945[50] ou le 12 juillet 1945[51], au Centre de rapatriement de Marseille. Il reçoit la carte de rapatrié n°I.254.859 catégorie D.P. (déporté politique) qui a été établie sur ses déclarations lors de son retour en France[52]. Jules bénéficie d’un examen médical le 12 juillet 1945. Son état général est jugé « bon », Jules ne souffre pas d’un amaigrissement global[53].

 

 

Le devenir de Jules après 1946

 

Le 6 février 1946, Jules Braunschweig reçoit un certificat de déportation (modèle A) du Chef du bureau des Fichiers des Internés et Déportés Politiques du Ministère des prisonniers, déportés et réfugiés[54].

 

Jules dépose ensuite une demande d’attribution du titre de déporté politique au Ministère des Anciens Combattants et Victimes de Guerre[55]. Il réside alors au 151 rue de Belleville à Paris (19e arr.) et est voyageur de commerce. Le 22 mars 1954, le Ministre des Anciens Combattants et Victimes de la Guerre lui attribue le titre de déporté politique et lui délivre la carte de déporté politique n° 1101.10412[56].

 

Le 6 juin 1955, Jules, âgé de 65 ans, reçoit de la part du Ministère des Anciens Combattants et Victimes de la Guerre, le paiement d’un pécule d’un montant de 15 600 francs[57]. Ce pécule lui est versé en vertu du décret n°53-103 du 14 février 1953 portant attribution d’un pécule aux déportés et internés politiques pris en application de la loi n°52-843 du 19 juillet 1952, relative à l’amélioration de la situation d’anciens combattants et victimes de guerre.

 

Le frère aîné de Jules, Elias Braunschweig, est décédé le 26 août 1970 à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme)[58]. Le frère de Jeanne, Georges Meyer, est décédé le 15 juillet 1972 à Nice (Alpes-Maritimes)[59]. Jules Braunschweig, domicilié 3 allée Paul Langevin à Rosny-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), est décédé le 11 février 1976 à l’hôpital situé avenue du 14 juillet à Bondy (Seine-Saint-Denis), à l’âge de 86 ans[60].

 

 

Mémoire

 

Nous ignorons si Jules Braunschweig a témoigné de son vécu et nous n’avons pas réussi à retrouver d’éventuels descendants de sa famille. La famille Braunschweig semble être tombée dans l’oubli : il n’y a aucune feuille de témoignage concernant la famille Braunschweig sur le site web de Yad Vashem[61], et Jules a été omis de la liste des déportés juifs du Haut-Rhin[62].

 

Les noms de Jules Braunschweig et de Jeanne Braunschweig figurent sur le mur des noms au Mémorial de la Shoah à Paris[63].

 

 

Biographie achevée le 08 juillet 2021

 

 

Références

 

[1] Acte de naissance de Jules Braunschweig, Archives départementales du Haut-Rhin, en ligne.

[2] Acte de naissance de Salomon Braunschweig, Archives départementales du Haut-Rhin, en ligne.

[3] D’après la fiche domiciliaire de Salomon Braunschweig, Archives municipales de Mulhouse.

[4] D’après la fiche domiciliaire de Salomon Braunschweig, Archives municipales de Mulhouse.

[5] Acte de naissance de Elias Braunschweig, Archives départementales du Haut-Rhin, en ligne.

[6] Acte de naissance de Henri Braunschweig, Archives départementales du Haut-Rhin, en ligne.

[7] Acte de décès de Henri Braunschweig, Archives départementales du Haut-Rhin, en ligne.

[8] D’après la fiche domiciliaire de Salomon Braunschweig, Archives municipales de Mulhouse, et d’après la table décennale des naissances à Mulhouse de 1883-1892, Archives départementales du Haut-Rhin, en ligne.

[9] Jeanne Kahn d’après l’acte de naissance de Salomon Braunschweig, Archives départementales du Haut-Rhin en ligne ; Jeanne Cahen d’après la fiche domiciliaire de Salomon Braunschweig, Archives municipales de Mulhouse.

[10] D’après l’acte de naissance de Salomon Braunschweig, Archives départementales du Haut-Rhin, en ligne.

[11] Fiche domiciliaire de Salomon Braunschweig, Archives municipales de Mulhouse.

[12] D’après le site web du judaïsme d’Alsace et de Lorraine : http://judaisme.sdv.fr/

[13] Registre matricule de Jules Braunschweig, n° matricule 1931, 4e bureau de recrutement, classe 1909, Archives de Paris, D4R1 1536 (en ligne).

[14] Registre matricule de Jules Braunschweig, n° matricule 1931, 4e bureau de recrutement, classe 1909, Archives de Paris, D4R1 1536 (en ligne).

[15] D’après le registre matricule de Jules Braunschweig, n° matricule 1931, 4e bureau de recrutement, classe 1909, Archives de Paris, D4R1 1536 (en ligne), et d’après l’acte de mariage de Jules Braunschweig et de Delphine Jeanne Meyer, Archives de Paris,  2e arr., 2M 194 (en ligne).

[16] D’après la demande d’attribution du titre de déporté politique complétée par Jules Braunschweig, non datée, Pôle des archives des victimes des conflits contemporains (PAVCC), Service historique de la Défense (SHD), Caen (document obtenu par l’intermédiaire de l’association Convoi 77).

[17] D’après l’acte de mariage de Jules Braunschweig et de Delphine Jeanne Meyer, Archives de Paris,  2e arr., 2M 194 (en ligne).

[18] Acte de mariage de Jules Braunschweig et de Delphine Jeanne Meyer, Archives de Paris,  2e arr., 2M 194 (en ligne).

[19] Acte de naissance de Delphine Jeanne Meyer, Archives de Paris, 2e arr., V4E 5453 (en ligne).

[20] Acte de naissance de David Meyer, Archives de Paris, 8e arr., V4E 882 (en ligne).

[21] Acte de mariage de David Meyer et de Céline Moyse, Archives de Paris, 2e arr, V4E 5479 (en ligne).

[22] Acte de naissance de Abraham Georges Meyer, Archives de Paris, 2e arr., V4E 5456 (en ligne).

[23] Le registre matricule de Jules Braunschweig mentionne une lettre de l’intéressé le 8.09.1919 et l’adresse 215 bis boulevard Voltaire à Paris (11e arr.). Registre matricule de Jules Braunschweig, n° matricule 1931, 4e bureau de recrutement, classe 1909, Archives de Paris, D4R1 1536 (en ligne).

[24] D’après l’acte de mariage de Abraham Georges Meyer et de Marie Strauss, Archives de Paris,  11e arr., 11M 506 (en ligne).

[25] Recensement de 1926, 11e arrondissement, quartier Sainte-Marguerite, Archives de Paris, D2M8 253 (en ligne).

[26] Recensement de 1931, 11e arrondissement, quartier Sainte-Marguerite, Archives de Paris, D2M8 400 (en ligne).

[27] Recensement de 1926, 11e arrondissement, quartier Sainte-Marguerite, Archives de Paris, D2M8 253 (en ligne).

[28] Recensement de 1936, Archives départementales de Seine-Saint-Denis, D2M8/141 (en ligne). Les noms de Brunschwick Jules et Brunschwick Juliette sont barrés. L’indication « abs. » indique sans doute que Jules et Delphine Braunschweig sont absents lors du recensement.

[29] Le registre matricule de Jules Braunschweig mentionne l’adresse suivante en 1937 : Montreuil-sous-Bois, 1 rue Ariste Hémard. Registre matricule de Jules Braunschweig, n° matricule 1931, 4e bureau de recrutement, classe 1909, Archives de Paris, D4R1 1536 (en ligne).

[30] Recensement de 1936, Archives départementales de Seine-Saint-Denis, D2M8/141 (en ligne).

[31] Acte de mariage de Abraham Georges Meyer et de Marie Strauss, Archives de Paris,  11e arr., 11M 506 (en ligne).

[32] D’après l’annotation sur l’acte de mariage de Abraham Georges Meyer et de Marie Strauss, Archives de Paris,  11e arr., 11M 506 (en ligne).

[33] Acte de mariage de Abraham Georges Meyer et de Marguerite Léontine Bourgery, Archives de Paris,  16e arr., 16M 257 (en ligne).

[34] La rue Galtier s’appelle actuellement rue du Docteur Augros, d’après le site web suivant : www.ruesdelyon.net

[35] Demande d’attribution du titre de déporté politique complétée par Jules Braunschweig, non datée, Pôle des archives des victimes des conflits contemporains (PAVCC), Service historique de la Défense (SHD), Caen (document obtenu par l’intermédiaire de l’association Convoi 77).

[36] Jean Kleinmann, « Les politiques antisémites dans les Alpes-Maritimes de 1938 à 1944 », Cahiers de la Méditerranée, 74, 2007 (en ligne).

[37] Tal Bruttmann, Le SD de Lyon et la chasse aux Juifs, colloque du 6 novembre 2013, Lyon dans la Seconde Guerre mondiale. Villes et métropoles à l’épreuve du conflit, Université Lumière Lyon 2.

[38] Demande d’attribution du titre de déporté politique complétée par Jules Braunschweig, non datée, Pôle des archives des victimes des conflits contemporains (PAVCC), Service historique de la Défense (SHD), Caen (document obtenu par l’intermédiaire de l’association Convoi 77).

[39] Rapport du 5 septembre 1952 de l’Inspecteur de Police Pignarre à Monsieur le Commissaire de Police du quartier de St Just, enquête concernant les circonstances du départ en Allemagne du sieur Braunschweig Jules, Pôle des archives des victimes des conflits contemporains (PAVCC), Service historique de la Défense (SHD), Caen (document obtenu par l’intermédiaire de l’association Convoi 77).

[40] Liste originale du convoi de déportation disponible sur le site web du Mémorial de la Shoah de Paris.

[41] https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000020060805/

[42] Liste de détenus datée du 18 janvier 1945, Block 21, KL Auschwitz, Archives numérisées de l’ITS, Arolsen Archives (document obtenu par l’intermédiaire de l’association Convoi 77).

[43] Tal Bruttmann, Auschwitz, Paris, Ed. La Découverte, 2015.

[44] Tal Bruttmann, Auschwitz, Paris, Ed. La Découverte, 2015.

[45] Réponse de M. Gallot, chef du bureau de l’Etat-Civil Déportés, à Monsieur le Directeur Interdépartemental des Anciens Combattants et Victimes de Guerre, tampons des 11 et 15 septembre 1951, Pôle des archives des victimes des conflits contemporains (PAVCC), Service historique de la Défense (SHD), Caen (document obtenu par l’intermédiaire de l’association Convoi 77).

[46] D’après la fiche médicale n°1254859 au nom de Jules Braunschweig, 12 juillet 1945, Pôle des archives des victimes des conflits contemporains (PAVCC), Service historique de la Défense (SHD), Caen (document obtenu par l’intermédiaire de l’association Convoi 77).

[47] Tableau complété à la main, y figure Jules Braunschweig, Archives numérisées de l’ITS, Arolsen Archives (document obtenu par l’intermédiaire de l’association Convoi 77).

[48] Liste de déportés, Jules Braunschweig Transp. am 2.V.45, Archives numérisées de l’ITS, Arolsen Archives (document obtenu par l’intermédiaire de l’association Convoi 77).

[49] Réponse de M. Gallot, chef du bureau de l’Etat-Civil Déportés, à Monsieur le Directeur Interdépartemental des Anciens Combattants et Victimes de Guerre, tampons des 11 et 15 septembre 1951, Pôle des archives des victimes des conflits contemporains (PAVCC), Service historique de la Défense (SHD), Caen (document obtenu par l’intermédiaire de l’association Convoi 77).

[50] Certificat du 6 février 1946 du Ministère des Prisonniers, Déportés et Réfugiés, Pôle des archives des victimes des conflits contemporains (PAVCC), Service historique de la Défense (SHD), Caen (document obtenu par l’intermédiaire de l’association Convoi 77).

[51] Demande d’attribution du titre de déporté politique complétée par Jules Braunschweig, non datée, Pôle des archives des victimes des conflits contemporains (PAVCC), Service historique de la Défense (SHD), Caen (document obtenu par l’intermédiaire de l’association Convoi 77).

[52] Réponse de M. Gallot, chef du bureau de l’Etat-Civil Déportés, à Monsieur le Directeur Interdépartemental des Anciens Combattants et Victimes de Guerre, tampons des 11 et 15 septembre 1951, Pôle des archives des victimes des conflits contemporains (PAVCC), Service historique de la Défense (SHD), Caen (document obtenu par l’intermédiaire de l’association Convoi 77).

[53] Fiche médicale n°1254859 au nom de Jules Braunschweig, 12 juillet 1945, Pôle des archives des victimes des conflits contemporains (PAVCC), Service historique de la Défense (SHD), Caen (document obtenu par l’intermédiaire de l’association Convoi 77).

[54] Certificat du 6 février 1946 du Ministère des Prisonniers, Déportés et Réfugiés, Pôle des archives des victimes des conflits contemporains (PAVCC), Service historique de la Défense (SHD), Caen (document obtenu par l’intermédiaire de l’association Convoi 77).

[55] Demande d’attribution du titre de déporté politique complétée par Jules Braunschweig, non datée, Pôle des archives des victimes des conflits contemporains (PAVCC), Service historique de la Défense (SHD), Caen (document obtenu par l’intermédiaire de l’association Convoi 77).

[56] Décision du Ministère des Anciens Combattants et Victimes de la Guerre datée du 22 mars 1954 portant attribution du titre de déporté politique à Jules Braunschweig, Pôle des archives des victimes des conflits contemporains (PAVCC), Service historique de la Défense (SHD), Caen (document obtenu par l’intermédiaire de l’association Convoi 77).

[57] Annexe 2, Ministère des Anciens Combattants et Victimes de Guerre, paiement du pécule aux déportés ou internés politiques, envoyé le 6 juin 1955 à Jules Braunschweig, Pôle des archives des victimes des conflits contemporains (PAVCC), Service historique de la Défense (SHD), Caen (document obtenu par l’intermédiaire de l’association Convoi 77).

[58] D’après l’annotation sur l’acte de naissance de Elias Braunschweig, Archives départementales du Haut-Rhin, en ligne.

[59] D’après l’annotation sur l’acte de naissance de Abraham Georges Meyer, Archives de Paris, 2e arr., V4E 5456 (en ligne).

[60] Acte de décès de Jules Braunschweig, Mairie de Bondy.

[61] Site web de Yad Vashem : www.yadvashem.org.

[62] Jacky Dreyfus et Daniel Fuks, Le Mémorial des Juifs du Haut-Rhin, Martyrs de la Shoah, Strasbourg, Jérôme Do Bentzinger, 2006.

[63] Inscription sur le Mur des Noms. Site web du Mémorial de la Shoah de Paris.

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