Nous possédons pour chaque déporté des informations de base qui pourraient nous permettre de retrouver leurs traces : Nom, prénom, nom de jeune fille pour les femmes mariées, date et lieu de naissance.
Grâce à un travail de plusieurs années de recherche, nous sommes parvenus à rassembler plus de 50 000 documents relatifs aux déportés du convoi 77.
Nous proposons à des collégiens et lycéens dans chaque pays concerné, de rechercher dans leur ville ou leur village, les traces de ces personnes déportées qui naquirent et vécurent là où ils vivent aujourd’hui, que leurs grands-parents ont peut-être côtoyées ou même connues.
Questions fréquentes
À quels types de documents vais-je pouvoir accéder ?
L’association met à disposition un certain nombre de documents d’archives et vous accompagne dans vos recherches. Lire notre article à ce sujet
Quels élèves peuvent participer au projet ?
Le projet s’adresse aux collégiens, lycéens ou étudiants volontaires avec leur enseignant pour instruire, documenter et rédiger une biographie d’un, ou plus, des déportés du convoi.
Comment s’inscrire ?
Remplissez le bloc d’inscription S'inscrire ici
Des questions ? Écrivez-nous à contact@convoi77.org
-
Ce projet a été l’une des expériences les plus intéressantes pour moi, cela nous a fait beaucoup réfléchir. On a compris que toutes les victimes n’étaient pas des saints. Elles avaient leurs qualités et leurs défauts, leur propre vie, leur famille et leurs problèmes.
-
Pour moi, ce projet a signifié un voyage dans le passé. J’ai franchi la barrière du temps et en marchant délicatement et le cœur rempli d’émotion, j’ai découvert des précieuses informations sur la vie des juifs, sur l’Holocauste. J’ai compris qu’il s’agissait des leçons de vie, des valeurs morales qui étaient cachées et qui attendent d’être découvertes par nous, les petits chercheurs dans le temps.
-
Avant, la Shoah était une notion abstraite, imprécise pour moi. Je ne pouvais imaginer l’étendue des dégâts, des dérives de certains êtres humains. Aujourd’hui tout est différent. Mon engagement dans le projet m’a appris de nombreuses choses, mais j’ai vite compris que le sort pire que la mort pour ces familles innocentes, c’était l’oubli.